Connaissez-vous le syndrome de Diogène ou l’obsession compulsive d’accumulation ? Bref juste histoire d’entrer dans le dilemne du bibliophile ou celui du bibliomane.
Un bien beau « marque page/carte de visite » de la boutique Diogène à Lyon dans le vieux Lyon à Saint-Jean. On ne sait si l’oeuvre de 2009 a été réalisée uniquement pour ce document. (il semble selon les dires de l’artiste qu’il y ait eu 4 oeuvres différentes pour le tirage du document).
Carton d’exposition à Strasbourg pour ce Scanreigh tout en Tondis ou Tondo…Et oui pour sûr on dit bien un cheval, des chevaux donc un Tondi des Tondos à moins que ce ne soit un Tondo des Tondis voire simplement des Tondi……. Qu’est-ce-que tu dis, dis donc ?
D’ailleurs à cette occasion une magnifique affiche (un bois bravé imprimé par l’artiste)
voir quelques Scanreigh ailleurs
L’artiste continue inlassablement de « brosser » sa galerie de portrait; très souvent des femmes.
1994 – Bulletin N°6 « Le quai » édité par l’Ecole d’Art de Mulhouse et de Haute Alsace - Format 42×29.5 – Tirage non justifié. - Agenda Ecole – Rencontre en Février avec Jean-Marc Scanreigh - Article pleine page signé Scanreigh; Les Beaux-Arts face à la culture de l’estampe »
Excellent article du peintre sur les absences des Ecole d’Arts françaises en matière d’apprentissage des techniques de la gravure « …les gouges, les burins, les cuivres et les pierres ont été abandonnés à quelques responsables hors-jeu, ou en fin de carrière, dans des ateliers en coma dépassé… » et de conclure sur la potentialité d’une nouvelle pédagogie permettant à des élèves devenus artistes de faire en sorte que la Bibliothèque Nationale n’en reste pas à l’exposition, par ailleurs superbe, de l’oeuvre gravée de Baselitz en 85.
Il serait intéressant de savoir si, aujourd’hui en 2021, le patient est sorti du coma!
On a déjà présenté trois dessins de cet artiste qui signe Jason sans jamais avoir trouvé l’origine ni la bio de cet artiste. Pas plus sur internet que dans l’ile d’Ioclos, si un argonaute nous lit merci de nous renseigner.
Superbe plaquette recto verso de l’exposition « sui généris » à la galerie le Lac Gelé à Nîmes.
L’artiste interprète à sa façon les photos exposées. Pour ceux que cela intéresse il existe des vidéos sur youtube ou l’artiste parle justement de sa manière d’aborder les infimes détails des photos pour les transposer dans ses dessins. Bref, une belle expo décalée comme on les aime qu’effectivement on ne peut comparer à d’autres.
Jacques Petit. Né en 1925 à Montauban, il entre à l’Ecole Normale Supérieure des Arts Décoratifs de 1945 à 1949. Il décède en 2019.
Il travaille dans l’atelier de Marcel Gromaire de 1950 à 1951, date à laquelle il reçoit le second prix de Rome. Prix Fénéon en 1955 ainsi que deux prix de l’Institut de France ; 1979 Prix de la fondation Claude Bertault et 1988 Prix de la fondation Dumas-Millier. Peintre dit de la seconde Ecole de Paris, il expose dans le monde entier.
J. Lafond peint Chasselay « sous toutes les coutures » et sur bois.
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